« IL Y A UN SENS À LA VIE DE CHACUN. »
Tout être humain le cherche, d’une manière ou d’une autre. Développer ses capacités, participer à la société, aimer, rire, grandir…
La personne ayant une déficience intellectuelle ne diffère pas essentiellement des autres. Elle a ses forces et ses limites comme tout le
monde. Mais ses limitations sont plus évidentes que la moyenne des gens.
À la base de toute croissance humaine, il y a l’acceptation de soi-même. Découvrir sa valeur au-delà de ses faiblesses, croire en soi, en sa propre beauté. Ce n’est facile pour personne, encore moins quand notre différence peut devenir un prétexte à l’exclusion.
Environ 3% de la population présente une forme de déficience intellectuelle. Cela signifie énormément de gens. Comment inclure tout ce monde dans une société qui fragilise ses liens? Comment aller à la rencontre de celui ou celle qui est différent, vulnérable et apparemment moins rentable?